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Marité de Vos K
marite de vos k.
24 mars 2014

Ski zoo ? Freine !!

- Moi moi moi moi moi

- Qui moi ? je demande.

- Elle, que j'réponds.

- Elle ? Tu veux dire moi ?

- Ben oui, qui d'autre ?

- Je ne sais pas, les autres moi, je pensais.

- La Taulière ? La Patronne ? Marité de Vos K ? K ? Qui ?

- K qui ? 

Et ça tourne en rond entre moi, moi, moi et moi, et bien sûr je finis par me répondre, ah, c'est donc de moi qu'il s'agit.

Suis-je quelqu'une des Gens de l'Appartement, et dans ce cas, qui est mon personnage, où en suis-je et depuis lequel de mes moi devrais-je penser et parler ? Et lequel pourrait me représenter, et quand je dis me, je ne pèse rien, qui sont-ils les je, moi, elle, lui, on?

Remarquons que je ne mets pas de s à moi, même au pluriel, comme si moi était invariable.

- Ah ! Ah ! Ah ! je dis, elle est bien bonne,  moi invariable, moi adverbiaux, moi noms (non ?!) propres, Moi prépositif, moi conjonctif, moi interjectif ! Moi if (moisi), et quoi encore ? 

Et encore, je, moi, elle, lui, on, sont tous des mots masculins, un je, un moi, un elle...

Que faire avec cette grammaire ? Que faire de cette grammaire ? Des dessins ? Des desseins ? Que dire de l'orthographe ?

Bref, nous nous interrogeons, nous autres les représentations possibles (et impossibles) de la Marité de Vos K, la Marité XXX, la X Machine,  la lambda unetelle qui prétend écrire ici, vivre dans L'Appartement et qui pirate jour après jour les avatars de ses personnages pour matérialiser ses personnalités.

Ici, j'aimerais écrire un soupir contenant l'incertitude, la lassitude, le questionnement, la recherche de la vérité et toute la blasitude de qui écrit pour...

Oh ben, oh ça alors, ne serais-je point en pleine crise de métaphysico-littératuro-structuro-oh-oh-oh ? Et cette ponctuation rigide et limitée     mince    qu'en faire    que faire

Damned point d'exclamation ich bin démasqued virgule ich müsse absolutely me remettre à l'ouvrage sur oune ambitiouze project um zu sortir from this impasse.

Et toc point d'exclamation et vlan idem et voilà point

 

 

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23 mars 2014

Votez Dracula !

- Nous voulons être représentés, dit Léon. Votez Dracula !

- Je suis étonnée, réponds-je, je n'imaginais pas que Ceux de l'Appartement aient nécessité d'une représentation, quelle qu'elle soit. 

- Nous en avons assez, reprend Léon, d'être traités comme un chien.

Je regarde Léon avec un oeil d'expert, et puis avec les deux parce qu'un seul ne suffit pas, malgré tout je ne comprends pas.

- Mais, Léon, vous êtes un chien.

- Est-ce une raison ? Quand on me mord, ne souffre-je point ? Quand on m'insulte, ne me sens-je pas insulté ? Quand on me frappe, n'ai-je point mal ?

- Oh Léon ! Oh Léon ! Oh Léon ! Troudup marmonne en dormant. 

- Je me disais bien qu'il y avait quelque chose, dit Braise, j'ai remarqué sa concentration à la lecture du Marchand de Venise, je n'aurais pas cru qu'il s'identifie à Shylock, c'est la magie du spectacle vivant. C'est beau.

- Pourquoi Dracula ?

- Parce que c'est le meilleur représentant possible, il est humain et non humain, vivant et mort, il peut comprendre tout le monde, les Gens et les Autres.

- Seulement, dit Dracula, je ne suis pas prêt à représenter qui que ce soit, même un chien.

- Peu importe répond Léon, je te ferai roi !

- Shakespeare, dit Braise, ça a des effets secondaires.

- Heu là! heu là ! Kessila c'te Léon ! Vl'à qu'tu m'empêches ed'dormir à c't'heure ? T'as l'wiskhy mauvais, t'en auras pu!

Troudup se rendort apaisé, Léon était donc rond comme une queue de pelle et saoul comme un cochon. Pris sur le fait il se retire en lançant encore une réplique assassine

- Wouah Wouah Wouah !

que Braise traduit par: - Bon appétit messieurs !

- Quand même, dit-elle, il a des qualités ce chien.

 

31 décembre 2013

Danse, danse, danse

- Quoi de neuf ?

- Les Muses, répond Lucien Übernix, distraitement, concentré sur le dossier Tristan, les Muses sont neuf.

- Et les Musettes alors ? lance Troudup depuis il ne sait où, encore ivre de Noël. Hein! Où qu'a sont les Musettes, et de qui et de quoi ? Hein ? C'est qui leur mère, c'est qui leur parent, et alors hein, et quoi ?

- Depuis Noël ? dit Bruno Ragazzi.

Il pense qu'une consommation à la demi-vie si lente n'est pas raisonnable, il faudrait que Troudup aie nécessité de reproduire l'achat d'ivresse plus souvent. Une semaine, c'est trop long. Mais comment promouvoir l'alcool ? Une idée fuse, l'alcool sans l'alcool, un produit qui procurerait les mêmes effets, comme... comme... la drogue ? Non, autre chose, autre chose...

Lucien Übernix reçoit tardivement l'information que Troudup a lancée.

- Les Musettes, mais oui, murmure Übernix dans le coin de son cerveau dédié aux dévoilements, les Musettes c'est ça !

Oui, c'est ça qu'il cherche, le déclic qui produit la lumière dont il manque depuis des mois, depuis les débuts de la Recherche Tristan. Ils ont fouillé l'ADN, l'environnement, la culture, ils ont fait le tour des abords, du centre, des périphéries, des satellites, ils ont tout décortiqué. Et si c'était ailleurs, et si ça n'était pas dedans?

C'est ça, c'est ça, ce serait dans une annexe, il y aurait un réservoir du ça du corps, à l'instar de l'inconscient il y aurait ce ça-là, dans une Musette, qui attendrait qu'on y puise, pour boire aux sources de l'origine, un autre code. La Musette serait un attribut.

Tristan n'était pas fait que d'ADN, de chairs, d'os, de son éducation, de son temps, de ses expériences, de son atmosphère, il y aurait ça, dans la Musette, qui n'est nulle part ailleurs, qui n'existait pas parce qu'on ignorait que ça existât, La Musette, La Musette !

Lucien Übernix danse de joie, comme un ours élégant, il danse, cet homme grand, lourd et solide, il danse comme un elfe, il danse avec son esprit.

Et moi, Marité de Vos K, je contemple puis je me joins à la danse du dévoilement, et Troudup aussi, et Braise, et Louka, Dolstein, Melle de Lhéry, Dracula, Mandrake et Marianne, Tristan I, II, III, tous les Tristans, Suzy, Fabiola, Laprune, tout Bourg-Lez-Nains, Nono, Corinne, Fabienne, Robert Dieu, les deux Rachel, les deux Albert, tous les Gens de l'Appartement, tout le monde danse, danse, danse.

 

23 juillet 2013

Concaténation ? Sublimation ? Mélasse !

Dans la chaleur de la canicule nos fluides s'expriment, coulent et se confondent.

Voilà que Ceux de L'Appartement sont liquéfiés, formant lentement des rus irisés, des rivières colorées, des fleuves lourds, des lacs artificiels retenus par des barrages qui vibrent, trémulent et explosent comme un volcan généreux.

Et la mer, et l'océan et le ciel pleins de Tous, ça s'emmêle, ça palpite, ça s'interplace et ça s'agglomère par des liens si fins qu'on ne les voit pas, si puissants qu'ils nouent le monde entier à la cellule unique du Soi, Eux, Nous:  Ceux de L'Appartement.

Bref, j'ai chaud.

10 juillet 2013

Et tout le reste (n')est (que) littérature

- Je suis prête, dit Braise, je suis prête, dépêche-toi, vite, on va rater le début.

- Il n'y a pas de début, dit Dracula, ni début, ni fin, rien à rater.

Et hop, ils s'envolent.

- Bonnes vacances, dit Louise K. dans le vide.

Elle attend son tapis volant pour partir elle aussi.

- Le voilà !

Et hop, envolée.

- Bonnes vacances, je lui lance, et moi aussi j'attrape le rêve qui passe et je pars.

Braise et Dracula sont partis pour La Recherche du Temps Perdu, ils espèrent rencontrer Proust, ils ont choisi l'option manuscrit, avec les paperolles et l'odeur encore prégnante des fumigations de Marcel.

Louise K. part pour Le Maître et Marguerite, une édition ordinaire, ce qui l'intéresse c'est l'histoire, les mots, l'enquête. Est-ce que Ponce Pilate avait cette migraine, est-ce que Le Maître était fou, jusqu'où Marguerite l'aimera-t-elle?

Et moi, pas besoin de réserver, je repars pour Les Mille et une Nuits, Shariar, Shéhérazade et Dinarzade. Je me suis raconté mille et une fois l'histoire, j'y suis allée, j'y suis retournée et pourtant, elle me manque encore.

 

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9 juillet 2013

Vacances

- Ben, dit Troudup, c'est les vacances !

- Mais pas dans l'entrée !

- C'est les vacances partout ! qu'il dit encore, têtu.

- Mais le hamac, pas dans l'entrée !

 Je ne sais pas pourquoi j'insiste... il a raison, c'est le meilleur endroit.

- Ben oui, personne passe par l'entrée, et les petits courants d'air qui coulent par dessous la porte, ce serait donnage de pas en profiter.

Il transpire à nouer les cordes du hamac, en bermuda, pieds nus, le Marcel tendu, il sent l'air rafraîchir sa peau humide, il est content.

Léon le regarde sans rien dire et va lentement se coucher sur le seuil. Il absorbe toute la fraîcheur, ses poils frémissent, il se dit, c'est ça la vie de chien.

- J'm'en fiche, dit Troudup, y a la serrure. Hier, c'était bouché, j'y ai craché un bon coup et hop, roule Raoul, c'est reparti.

- Pourquoi pas partir ? je lui demande.

- Partir pour quoi faire, j'ai l'hamac, j'ai l'courant d'air et pour voir du pays, y a pas mieux que L'Appartement.

 

2 janvier 2013

Actualité

- Faudrait s'inscrire dans l'Histoire.

- Inscrire quoi ? Dans qui ? Où ?

- L'Appartement, là, faudrait qu'il entre dans la Modernité.

- Pour quoi faire ?

- Ben, Fabienne Berman hésite un peu, elle vient de réaliser que c'est La Taulière en personne qui lui répond, pas plus conciliante que d'habitude. Je voudrais que l'Appartement soit référencé dans les panels 2013.

- Qu'est-ce que c'est que ça ?

- Un outil que je viens d'inventer, pour consolider par une crédibilisation Scientifique les résultats de l'enquête que je vais lancer tout à l'heure. Fondée sur une question très importante: une étude sur la résolution des conflits sociaux.

- Pas moins que Scientifique! dit Paulette Dolstein, impressionnant...

Fabienne se sent mal, euh, c'est-à-dire qu'euh...

- C'est-à-dire qu'elle s'emmerde dit Troudup, et quand ça s'emmerde la Fabienne,  ça dit des conneries, pis ça en fait.

- Donc ? continue-je en tant que moi-La-Patronne.

- Voilà! C'est ça, là, c'est ça, ouais ! Faudrait voir à voir et à savoir reprend Fabienne, très remontée. Je vais faire un sondage, une enquête, des statistiques pour choisir enfin entre La Patronne et La Taulière: 2013 sera l'année de la non confusion.

- Non confusion, mais que dit-elle ! Non confusion, quelle pauvre nouille que cette Fabienne, dit Dracula d'habitude plus inventif. Il est avachi sur le canapé couleur Chartreuse, nouvellement arrivé dans l'Appartement.

Il est fatigué comme on dit à Rennes les lendemains de nuit blanche, si fatigué qu'il s'endort en parlant et si Braise ne le protégeait pas avec une couverture, il fondrait aux pâles rayons du jour comme une sorcière de Walt Disney.

- J'ai besoin de dossiers, faut que je fasse des plans, répond Fabienne, pour piloter des projets. Faut bien que je m'occupe ?

- Rebois un coup, plutôt ! dit Troudup et c'est méritoire de bouger encore car bien qu'on soit le 2 janvier il est resté dans la nuit du 31. Mais épuisé par ce dernier effort, il s'évanouit sur Dracula.

Fabienne est déçue, elle croyait trouver un espace vide pour écrire tranquillement sa petite histoire et non, il y a toujours quelqu'un ici. On a beau montrer page blanche, elle est toujours déjà habitée. 

Elle est déçue Fabienne mais elle est un peu fatiguée aussi, elle va s'échouer en vrac dans le grand canapé Chartreuse.

- Je sais ! Je vais lancer une campagne de recensement dit Fabienne emparée par un petit néant tout frais.

- Ah quand même, dit Le Recenseur, ça fait au moins deux ans que je tourne, il était temps qu'une équipe se forme.

 

 

18 septembre 2012

Euh ?!

En effet: euh ?! pense La Taulière en son for intérieur 

Que vont-ils faire ? Puis-je ou dois-je laisser s'introduire ici Dieu et Bernina 830?

- Qu'est-ce que ça peut donner ? se demande-t-elle.

- J'ai envie de dire, création, j'ai envie de dire nouveauté, j'ai envie de dire révolution, j'ai envie de...

- Eh! Fabienne, ça suffit, lâche l'affaire, on n'est pas dans la presse pipeule, ici! Ici, c'est l'Appartement figure-toi, dit Astrid qui n'a quitté son ouvrage que le temps de s'insurger. Elle est très concentrée, c'est la première fois qu'elle fait le thème astral d'une machine à coudre.

- Ouais, ouais, dit Troudup, elle a raison, Astrid, c'est pas SBSC ici!

- SBSC? dit Fabienne, connais pas. Elle aime les commentaires, comment faire ses analyses de consommateurs sinon ? SBSC, jamais lu, jamais vu, alors, qu'est-ce que c'est ?

- SaBiteSesCouilles! lance Troudup, très content.

- Merci, répond Fabienne sincère, et elle note. Est-ce que ça ne serait pas le moment ? Au lieu de tergiverser avec des Elle, Lui, Playboy ou Closer, pourquoi pas dire les choses ? Car enfin, de quoi parle-t-on.

- Ouais, ouais, commente Troudup, mais y a pas que  la bite et les couilles

Le temps que Fabienne, très étonnée que Troudup éprouve le besoin d'une précision, se tourne vers lui pour noter la suite, il termine

- Y a le cul aussi.

 

29 juin 2012

Interlope

- C'est quoi  interlope ?demande Esther qui n'est pas cinéphile et ne se doute pas qu'elle fait hommage à Jean Seberg dans Pierrot le Fou.

Donc elle demande c'est quoi interlope? et pas c'est quoi dégueulasse ?

- Interlope, c'est l'entre deux mondes, je réponds, entre truands et bobos, entre échangistes et puritains. En répondant je pense interlope c'est dans chez moi, interlope c'est ici, entre eux et moi, entre moi et moi.

Esther, ça lui va, mais moi, je suis troublée, je dois creuser.

-  Pas la peine d'aller chercher trop loin, dit Dolstein.

- C'est bien la première fois que vous me dites de ne pas chercher loin ?

- A qui parlez-vous ?

- A vous ! Qu'est-ce que c'est que cette question, je vous parle à vous, Paulette Dolstein !

- Eh bien oui, vous me parlez à moi et moi je n'existe pas.

- Ah là là, toujours cette vieille lune, réalité, imaginaire, comme si c'était pertinent. La carte n'est pas le territoire, elle en est une représentation subjective, nous le savons. N'empêche que je vous parle, et que je suis en lien aussi avec le plugged monde puisque je suis sur le Net.

- Ah putain, bite, couilles, faites pas chier ! dit Troudup.

- Peut-être, je lui réponds, mais vous posez virgules et point d'exclamation, alors les formes, vous les mettez aussi.

- C'est pas moi, bandes d'emmerdoukeuses ! Je m'fais mettre c'est pas moi qui mets, c'est La Taulière, moi  j'mets des mains à la pâte, des mains aux culs, la main la bite, merde, pas la tête, putain! Merde alors! On s'fait chier dans c'blog depuis qu'elle a eu le coeur à l'envers l'autre! C'est désert ou fromage de tête! Merde et merde!

Il a raison Troudup, ça commence à bien faire.

- Pense à ton père ! me lance une voix depuis très loin, très loin, je ne sais qui m'envoie cette bouée.

- C'est moi eh patate ! C'est moi, eh peau de fesse ! C'est moimoi, ta Marie-Thérèse!

Bien sûr, c'est elle, elle c'est moi,

- T'as raison, t'as raison, je  réponds, je vais ouvrir les cages et laisser sortir les piafs, tant pis pour les effets secondaires.

- Pauv' cloche envoie Richard, y a pas d'effets secondaires, c'est toi l'effet secondaire.

Il est gonflé mon frère, parce que c'est lui le deuxième, moi je suis le numéro trois.

 

7 juin 2012

Mots manquent

- Et alors ? Quoi ? Hein ? Qui ? 

Troudup est énervé, ce qui l'énerve c'est La Taulière. Elle a tout quitté depuis trois mois, il ne sait plus qui il est.

- Bien sûr que je sais qui il est, ce que j'ai perdu ce n'est pas moi, c'est le chemin du Petit Renard, et je ne sais plus le nom de mon chien.

- Batbourg en face de l'école, Léon, je réponds.

- Batbourg, j'y suis retourné maintes fois, répond-il à son tour, mais je n'y ai point trouvé mes marques. Sans doute me suis-je trompé de tome.

Il parle un langage qui me surprend.

- Vous avez tort d'être surprise, ce langage est celui d'un homme qui n'en a plus de propre pour cause d'abandon. Vous m'avez jeté à la rue.

- A la rue ?

- Pour un personnage de roman, ma chère, la rue c'est le dictionnaire.

- C'est pas si mal le dictionnaire.

- Manque de caractère, dit Troudup, manque de surprise, manque de vie. Le dictionnaire savez-vous, c'est le musée des mots, on visite, parfois on peut prendre des photos, et on s'en va.

- Le Petit Renard est dans Batbourg IV, après la période théâtre, de La Pomme Maudite à Enlève tes doigts de la prise et avant Les Voies Obscures.

- Ah, quand même, au moins une piste, j'y vais.

- C'est ça, couvrez-vous, il tombe des cordes, des hallebardes, il pleut comme vache qui pisse.

Il a raison Troudup, le dictionnaire ça sent la mort.

 

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